
Philippe Laville – Rédacteur en chef
Rencontre avec le créateur du magazine Happy Sitiz.
Pouvez-vous nous présenter la ligné éditorial Happy Sitiz ?
Happy Sitiz est un média heureux dont la ligne éditoriale est de montrer à ses lecteurs tout ce qui se fait de sympa, d’agréable et de nouveau dans tous les domaines afin de “sublimer“ Le Mans et le département de la Sarthe. Très citadin, Happy Sitiz, en plus de parler de lieux, d’initiatives et de personnes issus de tout le territoire de la Sarthe, est quand même très imprégné de tout ce qui a attrait au cœur de ville. En matière de shopping, de sorties…
Quels sont vos lecteurs ? Que souhaitez-vous leur offrir ?
Le profil type est la jeune femme, le couple ou l’homme bien dans sa cité entre 25 et 55 ans (mais on va aussi bien au delà) avide de connaître les bonnes adresses, les nouvelles boutiques, souhaitant découvrir des créateurs, des artistes ou des lieux inédits. Notre souhait est simplement de les étonner à chaque numéro et chacun de nos lecteurs soit heureux de découvrir, à chaque numéro, tout ce qui fait l’essence d’Happy Sitiz.
Depuis quand existe Happy Sitiz ? Comment le magazine est-il né ?
Happy Sitiz existe depuis septembre 2007. Ce mag est né à un moment où je cherchais autre chose à faire, où j’avais envie d’aller sur ce sentier.
Vous êtes le créateur du magazine, son rédacteur en chef, pouvez-vous vous présenter ?
Premier magazine créé à 23 ans alors que j’étais étudiant en licence de droit au Mans. Dans les sports américains. Une partie de ma vie professionnelle durant près de 15 ans puis retour au Mans en 2000 où je souhaitais de plus travailler à Paris. Création du magazine Le Mans Racing, le magazine de la légende 24 Heures, puis de So Sport, magazine sur le sport sarthois. Magazines que j’ai portés pendant six ans pour le premier et deux ans pour le second. Avant de m’embarquer dans Happy Sitiz.
Quels sont vos lieux préférés au Mans ?
Tout ce qui donne un plus-value, une identité particulière à notre ville. Il y en a des centaines. Je dirais d’abord Bulle, formidable vaisseau unique en France et peut-être au monde, la Cité Plantagenêt, la seule cité moyenne-âgeuse à avoir aucune ou si peu d’antennes ; L’Epicerie Reignier, l’histoire gastronomique du Mans et la modernité en même temps ; Au Cœur des Artistes, boutique de créateurs qui montre qu’avec de la passion et des idées on peut faire des choses formidables ; les Bois de Changé, notre Central Park à nous ; La Boîte à Déjeuner, le Café Folk, Veg’Me Up, El Taquito, Layaly 24, des lieux sympas ou l’on mange très bien, uniques au Mans ; la rue du Chalet, la rue Jean Nicot… toutes ces rues mancelles avec de jolies, parfois petites ou majestueuses, maisons que je retrouve à chaque fois que l’on part en distribution du magazine.
Quelles ont été les rencontres les plus marquantes avec Happy Sitiz ?
Des tonnes. Avec Happy Sitiz, j’ai fait plus de 1 500 rencontres. Mais peut-être parmi les plus marquantes, celles avec des artistes, créateurs ou entrepreneurs avec lesquels je suis resté proche voire ami. Diana en est l’exemple type. Mais il y a aussi Joanna Hair et Alain Kurylo. Ou encore la tribu du Cœur des Artistes, Amélie, Marie et Mathieu…
Pourriez-vous nous dévoiler un de vos derniers coup de cœur ?
Les trois derniers Sitizen d’happy Sitiz, le grand portrait du numéro. Marion Porcher, Julien Grassin, Mourad El Mrini. J’aurai pu chacun les écouter encore des heures. J’adore la sincérité, des mots mais surtout de l’instant présent. Quelle chance de pouvoir discuter avec des gens comme ça. Happy Sitiz porte bien son nom !
Site Internet – www.happy-sitiz.fr